L’organisation Yesh Din est connue pour son combat judiciaire acharné contre la présence juive en Judée-Samarie. Avec Shalom Akhshav, Yesh Din partage la “palme” des saisies de la Cour suprême au nom d’Arabes palestiniens qui, souvent après des dizaines d’années, revendiquent soudain la propriété d’un terrain où sont installées des familles juives depuis fort longtemps. Les noms de Migron, Ofra, Amona ou Netiv Haavot sont connus de tous et ne sont que quelques exemples parmi les centaines de dossiers déposés par ces organisations.
Mais comme beaucoup d’autres organisations de gauche, la défense du droit n’est que la vitrine d’un combat bien plus sournois mené de l’intérieur contre l’Etat d’Israël, au point qu’elles n’hésitent pas à recruter des employés aux idées et aux fréquentations des plus problématiques.
C’est notamment le cas de Mourad Jaddallah, employé jusqu’à récemment par Yesh Din, et résenté par l’organisation comme un innocent “enquêteur de terrain”. Le site de l’organisation ne précisait rien sur le CV de cet individu – et pour cause. Pourtant, le compte Twitter de “l’enquêteur” est limpide: vénération de la mémoire de terroristes aux mains pleines de sang tels que Yehia Ayash, Masba’h Abou Sabia’h ou Samir Kountar, décrits comme lui comme des “légendes palestiniennes”, soutien ouvert au Hezbollah et son chef Hassan Nasrallah ou encore appel pour la libération d’Ahmed Saadat, du FPLP, organisateur de l’attentat contre le ministre Reh’avam Zeevi hy”d.
Parallèlement, Mourad Jaddallah est employé comme “enquêteur” par l’organisation arabe palestinienne Adameer, proche du FPLP et dans laquelle travaillait aussi le terroriste Salah Hamouri, qui projetait d’assassiner le rav Ovadia Yossef zatsal. Il est actuellement emprisonné en Israël. Les deux hommes s’étaient d’ailleurs fait prendre ensemble en photo assis à la terrasse d’un café.
Le journal Makor Rishon qui a révélé l’affaire a tenté d’obtenir des réponses de la part de Yesh Din. Mais l’organisation a refusé de fournir la moindre explication à ce sujet, fournissant un argument des plus lamentables: “Nous ne collaborerons pas avec la campagne de calomnies de Makor Rishon contre les organisations de défense des droits de l’homme pour présenter leur action comme illégitime. Nous ne répondrons donc pas à vos questions”!!!
Et comme par hasard, après la demande de Makor Rishon, Mourad Jaddallah a bloqué son compte Twitter.
Un exemple de plus de la collusion entre les organisations israéliennes d’extrême gauche avec des organisations ou des individus des plus suspects et malveillants envers l’Etat d’Israël et qui n’ont rien à voir avec une quelconque défense des droits de l’homme.
Photo Makor Rishon
il faut expulser les terroristes et leurs soutiens.