La rencontre Donald Trump-Mahmoud Abbas à Beit Lehem s’est achevée. Les deux hommes ont donné une conférence de presse à l’issue de leurs entretiens.
Le chef terroriste Mahmoud Abbas a dit au président américain que “cette rencontre lui avait donné de l’espoir”. Il a déclaré que “les seuls obstacles à la paix sont l’occupation, les localités juives et le refus d’Israël de reconnaître un Etat palestinien alors que les Palestiniens reconnaîssent l’Etat d’Israël!” Il n’a bien entendu pas précisé qu’il reconnaissait l’Etat d’Israël comme un fait mais pas son droit d’exister en tant qu’Etat juif. Distinction fondamentale et flou artistique traditionnellement maintenu depuis Yasser Arafat.
“Le conflit n’est pas religieux (…) Nous ne sommes pas en conflit contre le Judaïsme mais contre l’occupation”, a également menti le chef de l’AP.
De manière perverse et victimaire, il a également évoqué la grève de la faim des terroristes détenus en Israël: “Je veux attirer votre attention sur la question des prisonniers qui se trouvent non loin de l’église de la Nativité (…) Leurs mères n’ont pas le droit de rendre visite à leur fils et je demande que vous ayiez une oreille attentive à cette question”!!
Et comme il le fait d’habitude pour amadouer la communauté internationale, il a souhaité “la paix avec Israël dans le cadre de deux Etats, dont une Palestine dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est pour capitale”.
Mais le plus surréaliste restait à venir: “Nous sommes déterminés à travailler avec les Etats-Unis pour lutter contre le terrorisme et aller vers une paix historique”!!!
Après lui, le président américain a souhaité la reprise du dialogue israélo-palestinien pour arriver à la paix mais il a adressé une pique remarquée au chef de l’AP: “On ne peut pas avancer vers la paix et parallèlement financer le terroisme. La paix ne viendra pas dans une sphère où la violence est financée et récompensée”.
Jamais le président Obama ne s’était exprimé de cette manière, de plus devant le principal responsable de cette pratique.
Autre détail important à noter dans ce genre de discours où chaque mot prononcé…ou non prononcé ont une importance: le président américain n’a pas prononcé une seule fois les expressions “Etat palestinien” ou “solution des deux Etats”.
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Donald aurait pu lui balancer à sa face de chef terroriste : “Tu veux que je te rafraichisse ta mémoire de rat en te parlant des petites écolières que tu as brûlé dans un bus à Mahalot , hein ? Alors je te conseilles de la boucler et essaie de mettre de l’ordre dans ta Cisjordanie de mairde, stp”.
Respect, Donald.