Le député réélu Meyer Habib en avait fait l’un de ses thèmes de campagne. Sa proximité avec Binyamin Netanyahou a une nouvelle fois été sans conteste un atout car le Premier ministre a adressé un ultimatum aux professionnels du secteur des transports: ils doivent présenter d’ici un mois une solution pour la validation des permis de conduire des nouveaux immigrants de France.
A l’heure actuelle, un immigrant qui arrive avec son permis de conduire français se voit recevoir un “permis provisoire” valable pour une année. Passé ce délai, il doit refaire des examens pour obtenir un permis israélien, même s’il conduite depuis plusieurs dizaines d’années! Sans parler des dédales administratives et du coût de l’opération.
Face à cette anomalie qui ressemble étrangement au problème des équivalences de diplômes pour des olim ayant parfois exercé leur métier en France pendant des années, Meyer Habib – par Binyamin Netanyahou interposé – a fait avancer les choses. Le Premier ministre a chargé la directrice-générale du ministère des Transports, Keren Terner, de coordonner cette action auprès des instances concernées afin de présenter la solution dans le mois qui vient.
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Tous les français devenus israeliens doivent bénéficier de cette equivalence, meme ceux qui ont fait leur alyah il y a plus de 10 ans, la , les 200 000 francophones titulaires d’un permis de conduire français (internationalement reconnu) doivent bénéficier absolument de cette initiative et ne pas être les pigeons .
A bon entendeur ,Meir Habib, cela sera la preuve que nous avons vote pour le bon numéro
Pourquoi un tel titre accrocheur,dévastateur et surtout contre productif qui va alimenter lourdement l’hésitation des éventuels olim de France et renforcer encore et surtout le mal être de ceux déjà installés en Israël?
L’auteur de cet article a t il vu Mr Natanyahou taper du poing sur la table?
En quoi était t il un thème de campagne de Meyer Habib, député français des expatriés français à l’étranger de la 8éme circonscription, car il s’agit bien d’une réglementation israélienne régie par le Ministére des Transports Israelien pour les conducteurs israéliens et non d’une disposition de droit français applicable aux expatriés français à l’étranger.
La confusion habilement entretenue, promesse de validation des diplômes et des permis de conduire, a servi à la réélection démocratique de Meyer Habib, soit.
Mais la notion de la alya en hébreu et de tout son contenu profond n’est pas une expatriation, et donc le olé hadach se sent et devient un citoyen israélien auquel s’applique la législation Israélienne et donc n’a pas le statut d’ expatrié français en Israël.
C’est cette dangereuse et polluante confusion des esprits qui autorise depuis un certain temps les clercs juifs français,en France toujours et pour certains déjà en Israël ,du microcosme juif français à jouer aux procureurs en face de la non prise de décisions favorables du gouvernement d’Israël en faveur des candidats français à l’alyah.
En quoi est ce déshonorant ou dégradant de valider un diplôme français ou un permis de conduire en israel? Ceux qui se sont soumis sérieusement et discrètement à ces éprueves ont réussi.
Connaissez vous les embuches mises par l’administration française aux émigrés résidants en France.?
Qu’elle serait la supériorité qualitative de la la alyah de France par rapport aux autres communautés de la diaspora pour réclamer un régime de faveur?