Evoquant la question d’Amona et les informations de plus en plus précises d’une transplantation sur des terres voisines, le ministre de l’Agriculture Ouri Ariel (Habayit Hayehoudi) a déclaré: “En l’occurrence, une transplantation sur des terres sans revendication de propriété s’impose. Mais il faut être clair: des accords ponctuels trouvés ici ou là ne remplaceront pas la nécessité de voter une fois pour toutes une loi globale de régularisation qui s’impose plus que jamais et apportera une solution définitive”.
Photo Isaac Harari / Flash 90