Avec l’augmentation des manifestations d’antisémitisme et d’antisionisme parmi la population des migrants musulmans, le Parti chrétien-démocrate de la chancelière Angela Merkel a décidé de prendre des mesures drastiques. A l’occasion de la Journée internationale de la mémoire de la Shoah (27 janvier) il présentera au Bundestag un texte de loi visant à renforcer la lutte contre l’antisémitisme, avec un accent sur ce combat parmi la population immigrée musulmane et des réfugiés.
L’un des articles de loi stipulera que “l’acceptation sans réserve de la vie juive en Allemagne sera considérée comme un critère dans l’acceptation d’une intégration réussie dans le pays. Quiconque refuse la vie des juifs en Allemagne ou le droit d’Israël à l’existence n’a pas sa place en Allemagne, et quiconque incite à la haine des juifs sera expulsé d’Allemagne”. La loi sévira également contre les tenants du boycott d’Israël en aggravant les sanctions contre ces organisations.
Les concepteurs du texte de loi reconnaissent qu’il y a un lien entre la politique humanitaire pratiquée par le gouvernement allemand envers les réfugiés en provenance des pays arabes et musulmans et la remontée de l’antisémitisme dans le pays.
Cette loi ne sera pourtant pas facile à mettre en oeuvre notamment pour l’expulsion de mineurs ou de réfugiés qui ont épousé des conjoints européens.
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Malheureusement l’Allemagne de Merkel a fait dans l’angélisme, à nié la haine des Juifs des migrants. Il est trop tard.