… disait Victor Hugo, “est un nom révéré”. Et plus vénéré que l’Islam à Hébron, tu meurs! Les Juifs n’y avaient pas toujours la vie facile. Quand, en 1660, les sauterelles se sont abattues sur la ville, elles ne laissaient aux Arabes que les Juifs pour se venger. Mais dans les années sans sauterelles, ça allait. Il suffisait de payer sadjizza, de se conduire comme de bons dhimmis, gentiment soumis et de s’habituer aux insultes. Avant, les Juifs allaient prier sur la tombe des Patriarches. Quand on enferma les tombes dans une mosquée, on leur permettait quand même de s’en approcher. Jusqu’à la septième marche de la mosquée. C’est juste quand Amin al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem, crut bon de claironner (eh oui…déjà en 1929!) que les Juifs menaçaient El Aqsa, que plus zélés qu’à Hébron, tu mourais. Et les Juifs, aussi, mouraient. Le chabat 24 août, la violence s’y déchaîna avec un savoir-faire qui ne démentira pas. Soixante-dix Juifs, femmes et enfants compris, furent tués, torturés, mutilés; des enfants égorgés devant leurs parents, des femmes violées. On dénombra aussi cinquante-trois blessés. Et la présence juive, plusieurs fois centenaire, s’éteignit dans Hébron en Palestine. N’empêche que l’Unesco aura mis quatre-vingt huit ans pour révérer le patrimoine historique dont se réclament les Palestiniens.
Jacquot Grunewald
Depuis fort longtemps j ai appris que travailler a l unesco donnait des avantages disproportionnes par rapport aux salaires d un employe , ou cadre d entreprise .
Il n y a que les senateurs qui arrivent au meme niveau d avantages ( visibles et surtout non visibles ).