L’ancien président des Etats-Unis aura réussi son pari ! Il a laissé son empreinte et a offert au monde libre un vrai sac de nœuds, sans papier cadeau.
Voilà que l’Iran, devenue grâce à Barak Hussein, plus riche, plus puissante et plus menaçante, s’installe tranquillement en Syrie. L’ennemi que l’on observait grâce aux satellites est visible dorénavant à travers de simples jumelles.
L’Amérique a laissé la place à la Russie qui, main dans la main avec Assad, a ” gagné” cette guerre sans fin, où la cruauté a dépassé toutes ses limites.
Là aussi, l’héritage du laxisme Obamien a entrainé un flot jamais vu, ni imaginé, de migrants venus de tous les pays arabes vers les démocraties européennes toutes ébahies.
Les premiers effets de cette invasion pacifique, sont les vagues d’attentats dans les capitales européennes.
On aura beau manifester dans les rues de Barcelone en clamant : « Nous n’avons pas peur » ou en proférant des slogans d’amour et de pacifisme, le terrorisme ne va pas s’évaporer. Une phrase emblématique et très problématique revient toujours au lendemain des massacres : « l’Islam est une religion de paix et d’amour ». Hélas, les dessins d’enfants et les petites bougies blanches n’effraient pas les meurtriers, au contraire, ils les flattent, les incitent surtout à continuer. Les grands monuments des capitales s’illuminent et s’éteignent comme pour les plus belles fêtes de fin d’année, par ‘’solidarité’’ avec l’aveuglement collectif …
Israël passe pour certains medias un peu plus éclairés, pour celui qui a compris et qui a su lutter réellement contre le terrorisme. Cela ne les empêche pas de nous condamner systématiquement à l’ONU et de ressortir à chaque occasion, les belles expressions du genre : ‘’usage disproportionné de la force’’.
Dans cette situation complexe et surréaliste, Israël doit tirer son épingle du jeu et utiliser autant l’intelligence et la sagesse que la force. Tous semblent vouloir à présent se rapprocher de notre pays, comme s’ils sentaient en lui, la solution à cette équation au trop grand nombre d’inconnues. Les Etats-Unis, bien sûr, mais aussi la Russie, l’Inde, les pays d’Afrique et même certains en Europe voient en notre premier ministre, si contesté ici par une certaine élite, la dernière lueur d’espoir face à l’opacité ambiante.
En ces jours du mois d’Eloul, nous avons tous besoin de rappel à l’ordre, autant spirituel que matériel ! Et surtout de se souvenir, toujours, du mal que nous ont fait Amalek et tous ses descendants.
Et dans le cas où nous n’aurions pas emprunté le bon chemin dès le départ, nous pouvons toujours comme nous le propose si gentiment le Waze, réétudier un nouvel itinéraire !
Bonne rentrée à tous !
Avraham Azoulay