Et il y a les braves gens qui ne veulent voir que de braves gens dans l’islamisme… Sauf que beaucoup trop de ces « braves islamistes » revendiquent tous azimuts le droit de tuer, de crucifier, de décapiter… Par Bely.
Combien de fois n’a-t-on pas entendu que la majorité de tel ou tel groupe ou ethnie où populations diverses et variées, était faite de « braves gens » qui ne feraient pas de mal à une mouche ? Ce qui devrait surement se révéler exact quand on sait que la mouche est trop petite et trop maligne pour se laisser attraper par n’importe qui !
Quant au pourcentage de la minorité criminelle évoqué ensuite, même s’il ne se dénombre qu’avec 1 chiffre, ce qui est fort peu probable, il peut facilement représenter des millions de personnes prêtes à tout et n’importe quoi…
Ce n’est pas possible ?
Mais si et le plus légalement du monde…
Ainsi en se rendant sur le site ci-après on y trouve des passages faisant référence à divers arrêts sur image plus terrifiants les uns que les autres, dont ces quelques passages plus que révélateurs :
… « Lorsqu’on entend les réactions musulmanes actuelles selon lesquelles ce ne sont pas des vrais musulmans qui ont commis ces actes ou que ce n’est pas l’islam, cela reviendrait à dire que ce ne sont pas les Etats-Unis qui ont mené la Guerre au Vietnam parce que ce n’est pas cela les vrais Américains, ou encore que le Congo n’a pas été colonisé par les Belges parce que ce n’est pas cela la vraie belgitude, etc. Il faut cesser de dire l’Etat islamique (Daesh), ce …n’est pas l’islam. Il suffit d’écouter les discours et les prêches d’Abou Bakr al-Baghdadi ou d’autres responsables de cette organisation pour comprendre qu’ils ont une bonne connaissance des sources coraniques. L’Etat islamique publie sur internet une revue en anglais, Dabiq, et même en français, Dar al-Islam, dans laquelle l’ensemble des articles sont truffés de références au Coran, à des Hadith, et à un nombre considérable de penseurs particulièrement conservateurs comme Ibn Taymiyya ou Mohammed Ben Abdelwahhab, le fondateur du wahhabisme. Ces textes sont cités avec les références de la même manière qu’un article pour une revue scientifique occidentale. Xavier Luffin. »
Et cela depuis des dizaines d’années comme le rappelle l’épisode ci-après ! … « A un certain moment, le seuil de résilience sera atteint. Après un ou plusieurs autres attentats massifs commis par la mouvance islamiste, une réaction violente se produira. Je ne crois pas que la population d’un pays puisse indéfiniment digérer des attaques massives et les exorciser par des commémorations. Je le crois d’autant moins que le schéma d’une confrontation violente à caractère ethnique existe de longue date à l’extrême droite. (…) Ce schéma était en quelque sorte le match retour de la guerre d’Algérie. (…) J’ajoute que cette confrontation est voulue par les deux parties. Car pour les islamistes radicaux, elle est aussi un moyen de souder autour d’une identité commune des gens dont les rapports à l’islam sont parfois différents. Des gens qu’il s’agit de convaincre que, vivant une répression commune, ils ont aussi une destinée commune dans le jihad. (…) Dans cette famille, les mots ont toujours été plus forts que le risque terroriste. Pour l’instant, tous les actes terroristes venant de l’ultradroite étaient extrêmement «artisanaux», de basse intensité, à l’image de la tentative d’assassinat de Jacques Chirac par Maxime Brunerie ou des actes antimusulmans, malheureusement de plus en plus nombreux. Pour l’instant, on n’a pas dépassé le stade du cocktail Molotov ou du tir de carabine, à chaque fois par des individus isolés. Et, à mon avis, aucun groupe constitué et publiquement visible ne représente, à l’heure actuelle, un danger terroriste. (…) Depuis les années 80, existe aux Etats-Unis la théorie de la «résistance sans chef», qui a notamment inspiré les auteurs de l’attentat d’Oklahoma City en 1995. Dans ce schéma, les terroristes agissent individuellement ou par petites cellules décentralisées, ce qui rend très difficile leur détection. Autre risque : l’ancien militaire politisé, qui a le savoir-faire technique et veut continuer ici un conflit auquel il a participé ailleurs. Jean-Yves Camus. »
Conclusion : Comment répondre à pareille minorité assassine ?
Surement pas en courbant le dos, en acceptant de se taire et finir par se soumettre à la loi du plus fort …
Mais que faire pour mériter cet adage : « Je préfère vos condamnations à vos condoléances ! », conçu et revendiqué par Madame Golda Meir ?
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