En apparence et pour les besoins de leur propagande intérieure, les dirigeants iraniens minimisent toujours les opérations de Tsahal contre leurs forces en Syrie et même au-delà. Mais dans la réalité, ils sont de plus en plus inquiets des capacités de l’armée israélienne.
L’événement le plus grave et le plus humiliant pour les Iraniens restera cependant l’information révélée il y a quelques semaines par un quotidien du Koweït sur des vols de reconnaissance effectués par des avions furtifs F-35 de Tsahal dans les cieux iraniens. Les appareils israéliens ont pu traverser la Syrie et l’Irak, pénétrer dans l’espace aérien iranien, survoler certaines grandes villes et retourner en Israël sans que personne ne les détecte. Le message lancé par Jérusalem à Téhéran était clair : « Nous sommes capables de venir chez vous-même sans que vous vous en aperceviez !»
L’émoi provoqué dans les allées du pouvoir iranien a eu un effet à la fin du mois de mai. L’ayatollah Khamenei a fait limoger le commandant de la défense antiaérienne le général Amir Farzad Ismaïli, non seulement pour cet échec mais aussi pour avoir tenté de lui dissimuler cette humiliation. Cette décision est la résultante d’une enquête demandée directement par l’ayatollah et menée par les services secrets des Gardiens de la Révolution et le ministère des Renseignements.
L’enquête a confirmé les informations révélées par le quotidien koweïti Al-Jarida : des appareils F-35 « Adir » de Tsahal ont survolé les villes de Téhéran, Ispahan, Shiraz, Kiraj, Arak et Bandar Abbas à hauteur très élevée sans être détectés par les radars iraniens de fabrication russe reliés aux fameux missiles sol-air S-300. Ils ont même réussi à prendre des clichés des systèmes de défense antiaérienne iranienne ainsi que de bases souterraines. Les appareils ont ensuite réussi à regagner Israël sans être inquiétés. Le général Amir Farzad Ismaïli – comme on le comprend ! – n’avait pas souhaité en référer à l’ayatollah Khamenei.
Photo Porte-parole Tsahal
On le sait depuis longtemps. Il pleut c’est la faute des juifs. Il ne pleut pas c’est encore la faute des juifs. Il risque de pleuvoir ou de ne pas pleuvoir, c’est encore évidemment la faute des juifs.
Par contre, c’est la faute de qui que 2 milliards d’habitants (dont 1 milliard de musulmans) sur terre soient aussi bêtes. ?