Nous vivons dans un quartier très mal fréquenté, du Moyen-Orient. Au sud, du côté de Gaza, des tribus sauvages creusent des souterrains pour venir semer la peur et la mort dans nos maisons. Au nord, direction pays des cèdres, la bande à Nasrallah ne cherche qu’une occasion pour en découdre avec nous. La dernière fois, c’était après l’enlèvement de nos trois soldats, revenus dans des cercueils. A l’intérieur de nos terres, il se lève chaque jour un terroriste dans le seul but de poignarder, de tirer, de tuer le maximum de juifs. Parce qu’ils sont juifs. Côté Golan, encore une autre paire de manche. Deux pays terroristes ont créé une alliance afin de nous déstabiliser. Ils envoient régulièrement obus ou missiles pour nous éprouver. Ils reçoivent en réponse quelques bombes larguées par nos F16. Cette fois-ci, ils ont expérimenté l’avion sans pilote pour prouver qu’ils peuvent être plus sophistiqués et surtout dangereux.
A l’époque de l’après Goush Katif, on se souvient de ces scuds venus de Gaza, alors que plus un seul Juif ne vivait encore dans leur région. Notre réponse avait été laconique. Menaces verbales et quelques frappes dans la nuit sur des bases désertes ou même des terrains vagues à Gaza. Résultat des courses : quelques années après le démantèlement, nous avons fait de nouveau la guerre, à deux reprises contre le Hamas, au prix de la vie de nos soldats.
Aujourd’hui, face au tandem irano-syrien, le trio Bibi -Lieberman -Eizencott a employé un autre langage, plus douloureux, contre l’association de malfaiteurs. Plus de 30 avions ont ciblé des bases stratégiques de l’ennemi, faisant des dégâts et des pertes dont ils se souviendront encore longtemps. Tsahal a ressorti de ses dossiers une formule qui l’a toujours caractérisée: la force de dissuasion.
Ne nous faisons pas d’illusion. Ce n’est que partie remise, avec une de ces hordes enragées, qui ne désirent qu’une chose: notre disparition de la région, de la planète.
Mais ce qu’ils ne comprennent pas, ou qu’ils ne veulent pas admettre, c’est que nous sommes revenus sur notre terre pour y rester, pour l’éternité, ”lanetsa’h”. C’est pénible à admettre pour la plupart d’entre eux, c’est pourquoi nous remercions D-ieu d’être à nos côtés, et de nous avoir donné la sagesse et la force de les combattre sans répit.
Chacun participe à cette guerre de survie, par le don de soi, par la bravoure sur les champs de bataille, par la perspicacité des services de renseignements, par la force de nos tefilot, par les chaînes de H’essed…
Merci mon Dieu, merci Tsahal !
Avraham Azoulay
Photo by Ofer Zidon/Flash90
il faut les abattre ces chiens galeux , tant qu’ils n’ont pas recu de coups ils aboieront comme des chiens il faut les tuer sans se soucier du quand dira t on, les arabes c’est la merde de l’humanité a part leur coran ils peuvent se le mettre ou ils veulent