Si toutes ces noires silhouettes déshumanisées, dissimulées sous d’inhumaines burqa lui sont, à juste titre, parfaitement insupportables, élire Wonder Woman, cette vindicative blanche femelle fièrement dépoitraillée, nouvelle ambassadrice de l’ONU, marque le désolant retour à la case départ de la « déconsidération » féminine !
C’est vendredi dernier que cette idée pour le moins saugrenue a traversé, « comme un seul homme », (!) l’assemblée onusienne au grand déplaisir des employées présentes.
Une pétition a d’ailleurs été lancée par les membres du personnel pour exhorter le secrétaire général onusien à changer d’avis, requête qui a récolté plus d’un millier de signatures en moins de trois heures.
Entre l’image de toutes ces femmes soumises à la convoitise non maitrisée de tous ces mâles islamiques, et ce personnage de BD débridé, femme libérée et dominatrice choisie par cette Organisation des Nations Unies, l’ONU tombe d’un excès à l’autre et se décrédibilise une fois encore.
Madame, vous qui pensiez avoir réussi à imposer une image de vous différente de celle d’une pauvre poupée Barbie ou d’une femelle par définition obligatoirement et outrageusement sexualisée, voire une condition féminine synonyme de sous-homme, vous qui pensiez votre lutte enfin récompensée, tout est à refaire !
Et ce n’est pas L’ONU qui s’est choisi une ambassadrice à son image, un personnage fabriqué de toutes pièces, qui pourra vous sortir de l’impasse où elle vous a mise…
Mais… Qui a dit combien la critique était facile chez son voisin…
Mesdames, ne me dites pas que vous êtes étonnées ?
Dans votre synagogue, que faites-vous reléguées dans de très vilaines arrière-salles, des espèces de coulisses, loin de vos frères, de vos pères, de vos maris, de vos fils, même le tout petit qui sait à peine marcher, tous ces privilégiés pour l’unique et mauvaise raison qu’ils ont l’immense et unique avantage d’appartenir au sexe masculin .., Ce dont ils ne manquent pas de remercier dieu chaque matin !