La finale de la coupe d’Europe entre le Real de Madrid et la Juventus de Turin, a permis aux centaines de millions de spectateurs d’oublier la triste réalité européenne. Pour les Français, c’était la double fête : vivre ce grand match et revoir Zidane en finale, en tant qu’entraineur et vainqueur.
Mais, à peine au lendemain de ce match historique, l’actualité sanglante à Londres a aussitôt pris le relai. La guerre, depuis longtemps déclarée, ne va qu’en s’amplifiant.
Que faire ? D’abord reconnaitre qu’il s’agit de la même plaie qui touche l’Angleterre, la France, l’Allemagne et bien sûr Israël. Ensuite, travailler main dans la main, échanger les informations et les expériences afin d’éradiquer ce mal du siècle.
D’un côté, Daesh semble baisser la garde et subir un peu partout des pertes en Irak, en Syrie et ailleurs. De l’autre, voilà qu’il se redéploye sur des cibles plus faciles, en recrutant ses combattants sur place.
Le mal s’est ancré dans le vieux continent, qui en ouvrant ainsi ses frontières aux migrants, a quelque part, tendu le bâton au Djihad.
Pour éradiquer ce mal absolu, l’ordre des choses doit changer. Cela prendra du temps, mais il est toujours possible de bousculer l’ennemi et de le frapper avant même qu’il n’agisse. Encore faut-il le décider !
Israël n’a pas choisi la politique du ‘’Hand Spinner’’. Nos soldats accompagnés de la plus haute technologie, ne tournent pas en rond pour atteindre les terroristes, ils agissent avant même qu’ils ne se lèvent pour nuire.
La vie ressemble parfois à ce match de football, avec ses hauts, ses bas, ses buts, ses attentes, l’espoir de la victoire et les leçons à tirer après chaque partie engagée. Et notre équipe à nous, peuple juif, se doit d’être une équipe modèle et gagnante, de tendre vers plus de morale, de droiture, vers plus d’union, et de ‘’emouna’’, à la lumière des 7 branches de la Menorah unies et dirigées vers le haut pour éclairer toujours plus loin.
Avraham Azoulay