Pour qu’un film ou un documentaire israéliens soient présentés lors de prestigieux concours à l’étranger il y a toutes les “chances” pour qu’ils soient à charge contre Israël. Ce sera encore le cas lors du prochain Festival de Cannes avec un nouveau “documentaire” signé Amos Gitaï, encore lui.
Sa dernière réalisation, “A l’ouest du Jourdain” sera diffusée en avant-première lors de la ‘Quinzaine des réalisateurs’ dans le cadre du festival. Pour ce nouveau travail de sape de l’Etat d’Israël, Amos Gitaï présente cette fois-ci des Israéliens et des Arabes palestiniens qui selon ses termes “refusent d’accepter l’inacceptable et tentent de toutes leurs forces de surmonter l’occupation et ses conséquences”. De quoi conquérir effectivement les spectateurs et critiques français.
Et pour parfaire le tout, parmi les nombreuses personnes bien choisies et interviewées dans ce documentaire, on trouvera Yuli Novak, ex-présidente de Shovrim Shetika qui présente Tsahal comme une armée de criminels de guerre.
La filmographie d’Amos Gitaï est composée de nombreux films et documentaires très critiques et méchants envers la droite israélienne, Tsahal, les habitants juifs de Judée-Samarie et les religieux.
Un mélange idéal pour un Juif renégat qui veut se voir ouvrir les portes de la gloire à l’étranger.
Photo Moshé Shaï / Flash 90