La directive de Tsahal concernant les sujets à ne pas aborder ou les termes à ne pas utiliser dans Tsahal lors des activités du cinquantenaire de la Guerre des Six Jours a fait bondir Miri Reguev. La ministre de la Culture et des Sports a qualifié de “honte” et “d’énorme faute” cette décision du commandant du Département de l’éducation de Tsahal et a annoncé qu’elle allait en parler au ministre de la Défense ainsi qu’au chef d’Etat-major afin qu’ils annulent immédiatement cette directive.
Sur les ondes de Galei Tsahal Miri Reguev a rappelé que le gouvernement avait décidé de marquer en grand le cinquantenaire de la “libération et de la réunification de Jérusalem”, et que Tsahal se devait de suivre la politique fixée par l’échelon politique.
La ministre, qui est aussi présidente de la commission ministérielle des Symboles nationaux et des Cérémonies a rappelé que cette commission avait choisi pour logo de ce cinquantenaire “50 ans de la Libération de Jérusalem, Jérusalem réunifiée et unificatrice”.
Ya des influencistes de gauche dans ce pseudo-débat.
Prochaine étape : Refus de garder des lieux saints par des soldats laïques ou athés.
Et en plus, il s’appelle Néhémia
Il doit ignorer qui était Néhémia, et son implication à revenir en Eretz, reconstruire le Temple
il est vrai que chez Tsahal, il n’y a eu que de grands généraux, généreux avec notre terre, bon admettons que celui-là est l’exception, c’est un petit, petit général, pas généreux avec la terre de ses ancêtres
Zé ma ché yech