La ministre de la Justice Ayelet Shaked (Habayit Hayehoudi) a exprimé sa douleur après l’attentat de Halamish. Elle a souligné l’aspect particulièrement horrible de cette situation dans laquelle un septuagénaire qui vient de devenir grand-père est ainsi sauvagement assassiné à la table du chabbat avec deux de ses enfants. La ministre a rajouté: “Que l’on nous raconte pas que le terroriste a agi à cause des portiques de sécurité et des magnétomètres. Je ne me souviens pas qu’il y avait de telles installations sur le Mont du Temple lorsque la famille Fogel a été assassinée. Le terroriste, comme tous les autres, a agi à cause de l’incitation débridée de la part des responsables religieux et politiques arabes israéliens et arabes palestiniens…”.
De son côté, la vice-ministre des Affaires étrangères Tsipi Hotovely demande une reconsidération radicale de la politique israélienne de dissuasion. Elle appelle à l’instauration de la peine de mort pour les terroristes ainsi qu’à l’expulsion immédiate d’Israël de leurs familles.
Photo Yonatan Sindel / Flash 90
Lorsque la Constitution de l’État d’Israël a été rédigée, la peine de mort n’était réservée qu’aux criminels de génocide. En effet, pour les Juifs, la vie est sacrée. Mais actuellement, les dirigeants palestiniens du Fatah et du Hamas surenchérissent pour commettre un génocide de tous les Juifs israéliens : ils répètent sans cesse au peuple palestinien : « Nous devons libérer (des Juifs) la Palestine du fleuve (le Jourdain) jusqu’à la mer (Méditerranée). Cela constitue un appel au génocide de tous les Juifs vivant en Israël, environ 6,8 millions de Juifs, plus que l’Holocauste !
La vice-ministre des Affaires étrangères, Tsipi Hotovely a 100 % raison de demander l’instauration de la peine de mort pour les terroristes ainsi qu’à l’expulsion immédiate d’Israël de leurs familles : c’est conforme à la Constitution de l’État d’Israël.